Nous avons écouté 12 lycéens et étudiants, ayant entre dix-sept et vingt ans.
Nous les avons classés selon les critères suivants :
La tenue et la présence en scène.
L’expression : la fluidité, l’élocution, la qualité de la syntaxe et du vocabulaire, le sens de la formule.
La compréhension du sujet et la qualité des arguments.
Enfin, une forme d’originalité : l’aptitude à convaincre, à émouvoir, peut-être à amuser l’auditoire.
Nous avons évalué séparément les 6 lycéens et les 6 étudiants de cpge. Pour chaque catégorie, un premier et second prix ont été décernés.
[slideshow-bootstrap id=41]
Finalistes – Catégorie lycéens
CLAIRE CASSAGNE et ELISE FERRAND
Sujet : « Les rêves sont ce qu’il y a de plus doux et peut-être de plus vrai. »
GREGOIRE HAUSERMANN et JEAN HAZET
Sujet : « Nous commençons à vieillir quand nous remplaçons nos rêves par des regrets. »
ELISABETH PICHERY et ROCH TANDONNET
Sujet : « L’art est fait pour troubler, la science rassure. »
Finalistes – Catégorie CPGE
ERIC ASKINAZI et JULIE CHEVALLIER
Sujet : « J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. »
ARIS BENAKLI et ADRIEN GOURMELLET
Sujet : « Vous n’arriverez jamais à destination si vous vous arrêtez pour jeter une pierre à chaque chien qui aboie sur votre passage. »
LEO-POL LE BORGNE et LEO PIZZOL
Sujet : « Le bonheur est souvent la seule chose qu’on puisse donner sans l’avoir et c’est en le donnant qu’on l’acquiert. »
La préparation était de 45 minutes pour cette épreuve.
Les 12 candidats avaient été sélectionnés parmi une quarantaine de lycéens et d’étudiants de Classes Préparatoires.
Les lauréats
Catégorie lycéens
1er : Grégoire Hausermann
2èmes ex aequo : Jean Hazet et Roch Tandonnet
Soyons tous à l’Assemblée Générale, profil à jour et cotisation réglée !
L’Assemblée Générale annuelle de l’Association des Anciens de Hoche se tiendra le 18 juin au lycée Hoche à Versailles.
Réservez la date ! Tous les Anciens à jour de leur cotisation y sont conviés.
Nous espérons que vous serez très nombreux à participer à cette AG et au déjeuner qui suivra. Notre déjeuner annuel est une occasion unique de nous retrouver tous ensemble.
François de MAZIERES, Député-Maire de Versailles et ancien élève de Hoche nous fera l’honneur de sa présence au déjeuner.
Le programme du 18 juin sera le suivant :
– Visite du musée du lycée Hoche à 10h,
– Assemblée Générale à 11h30,
– Déjeuner à 13h (restaurant du lycée).
Pour participer au déjeuner, une contribution de 35 euros par personne est demandée. Vous pouvez vous inscrire et payer directement en ligne en vous connectant avec votre login et votre mot de passe sur www.ancienshoche.org. Pour celles et ceux qui préfèrent le papier, vous pouvez choisir de nous renvoyer le bulletin qui vous a été adressé par courrier début avril avec un chèque de 35 euros, ou nous envoyer votre chèque en précisant qu’il s’agit de l’inscription au déjeuner du 18 juin.
—————————————————————————-
L’annuaire 2016, tous les Anciens à jour de leur cotisation le recevront par courrier. Il est en cours de fabrication.
Il est indispensable que votre profil soit à jour, il en va de la qualité de l’annuaire. Rendez-vous sur le site www.ancienshoche.org pour vérifier et mettre à jour vos informations.
Pensez également à mettre en ligne sur www.ancienshoche.org vos photos de classe ou à nous les envoyer sur contact@ancienshoche.org. Si vous avez les noms des anciens présents sur les photos, pensez à les indiquer.
Une autre histoire, un peu ancienne puisqu’elle remonte à 1991… Celle de mon fils A. qui n’était pas élève à Hoche. Il était un peu cancre, pas bête, plein de bonne volonté mais légèrement paresseux. Il se trouvait en terminale dans un établissement privé versaillais, bien estimable, mais dont le niveau, il faut le dire, n’était pas très haut. Mon fils était en terminale S, non pas qu’il ait été brillant en maths et physique, mais il était complètement nul dans toutes les autres matières…
Vient le bac ! Résultat : 6,3 / 20. Sans appel. Que faire? Le laisser redoubler dans cet établissement pour espérer 7,5 / 20 l’année suivante?
Mon épouse, peu familière des lycées de la ville, a alors une idée originale et surprenante : si nous demandions à Hoche de le prendre? Je tombe à la renverse, ancien élève pendant dix ans, je n’aurais jamais osé y penser. Mais faute d’autre solution, essayons !
Dans un cas délicat comme celui-ci il vaut mieux écrire plutôt que déranger une personne au téléphone et risquer de l’incommoder. J’écris donc au proviseur, Monsieur Mosser, que je connaissais un peu, étant représentant des parents d’élèves au conseil d’administration de l’établissement (un autre de mes enfants y était élève). Sur le thème : « Monsieur le proviseur, nous admirons votre remarquable établissement qui envoie chaque année vingt-cinq élèves à HEC et autant à l’X. Serait-il aussi capable de faire quelque chose dans un autre registre : prendre un élève en perdition et lui faire passer ce bac qui lui est nécessaire ? Ensuite il ne vous demandera plus rien ayant une voie déjà ouverte ailleurs mais il lui faut passer ce cap ».
Pas de réponse. Puis un soir vers 18 h mon épouse m’appelle au bureau : le proviseur vient de convoquer A. immédiatement. Je me précipite au lycée, vais droit au bureau du proviseur qu’heureusement je savais situer. Le lieu est assez impressionnant, même pour un ancien élève… vaste pièce, mobilier national, proviseur trônant et expliquant au petit élève tassé sur sa chaise qu’il était nul. – Monsieur le proviseur, hélas nous savons, mais que pourrions-nous envisager dans un sens positif ? – Qu’il travaille beaucoup cet été pour rattraper une partie de son retard et nous en reparlerons à la rentrée.
La rentrée, rien. A. n’est sur aucune liste de classe. Devant l’urgence, j’ose cette fois téléphoner : – Monsieur le Proviseur, qu’en est-il ? – Je veux bien le prendre s’il s’engage à avoir toute l’année la moyenne dans toutes les matières. – Impossible dit A., je ne peux pas m’engager à ce niveau. – Bon, qu’alors il s’engage à travailler dans toutes les matières sans rien négliger
Il a passé la pire année de sa vie. Il n’était pas au niveau et a dû faire un effort considérable. Plusieurs professeurs ont été conscients de son cas et l’ont soutenus.
Il a obtenu le bac avec juste ce qu’il fallait de points, pas un de plus, mais il l’a eu. Il est entré dans une école d’ingénieurs à prépa intégrée, en est sorti diplômé et dirige maintenant une entreprise de services informatiques.
J’ai encore écrit au proviseur, sur le thème « bravo et merci ». De fait, il y a d’autres établissements d’excellence, à Versailles en particulier. Je pense qu’ils n’auraient pas su s’intéresser à un cas difficile mais qui en définitive n’était pas désespéré. Ce type de réussite est aussi à porter au crédit de notre Lycée.
Le Vice-Amiral d’Escadre (2ème section) Hervé GIRAUD (Hoche 1964) est venu nous parler du Général d’Armée Henri GIRAUD (1879–1949), son grand père. Il avait déjà honoré le lycée Hoche par sa présence et par une allocution remarquée, lors de la cérémonie du Souvenir, le 10 novembre 2015.
Le 22 mars 2016, il nous a vivement intéressés une nouvelle fois, en évoquant la vie et l’œuvre du Général GIRAUD, dans son contexte historique, bouleversé et douloureux, qu’il connaît parfaitement, par sa famille et par sa carrière militaire ; il a accompagné son exposé, très précis et documenté, d’enthousiasme et de brio. Comme il est impossible de le restituer en entier, nous avons retenu es grands moments de cette vie, et le plaidoyer contre l’oubli de son action et l’ingratitude à son égard. Il est en effet, comme le rappelle Hervé, un grand libérateur oublié.
1. Un officier prometteur
Le Général GIRAUD fait partie (avec les futurs généraux de Gaulle, de Lattre, Juin) de cette génération d’officiers qui ont marqué l’histoire de notre pays et ont grandi, à la fin du XIXème siècle, dans le mouvement d’espérance nationale du retour de l’Alsace-Lorraine arrachée par à la France après la défaite de 1870. Esprit de revanche entretenu dans l’opinion grâce à l’action d’écrivains tels que Maurice Barrès et d’hommes politiques tels que Georges Clémenceau.
En 1914-1915, Giraud est capitaine. Blessé d’une balle au poumon à la bataille de Guise le 30 août 1914, laissé pour mort sur le champ de bataille, puis ramassé par des brancardiers allemands et fait prisonnier, il s’évade deux mois plus tard et regagne le front jusqu’à la victoire. Le 23 octobre 1917, il reprend avec son bataillon le fort de La Malmaison tenu par la Garde impériale ; cet exploit connaît un très grand retentissement. Nommé commandant, il participe ensuite à toutes les offensives de 1918 au sein de la fameuse division marocaine, et termine la guerre avec cinq citations dont quatre à l’ordre de l’Armée.
2. Entre les deux guerres : l’Afrique du Nord, et la menace allemande.
Après deux années de repos forcé dû à ses blessures de 1914-18, il est rappelé au service lors du déclenchement, au Maroc, de la guerre du Rif où ses qualités de tacticien et de chef lui valent les éloges de Lyautey. Blessé, il se distingue par la capture du chef rifain, Abd-el-Krim (1925). Un fait d’armes célébré par tous les grands journaux et applaudi par l’opinion publique.
Affecté ensuite à l’Ecole de guerre (1927) comme professeur d’infanterie, il enseigne et participe à la réflexion stratégique, soulignant avec clairvoyance le rôle croissant des chars et de l’aviation.
En 1930, nommé général, il parachève la pacification du Maroc. Après avoir commandé la division d’Oran, il est nommé début 1936 gouverneur militaire de Metz, qui est alors la capitale militaire de la France face à l’Allemagne. Convaincu des intentions belliqueuses du nouveau régime allemand, il pousse sa hiérarchie à se montrer ferme face à Hitler en ripostant, en1936, à la réoccupation de la Rhénanie par l’Allemagne et, en 1938, peu avant les accords de Munich, en recommandant à l’Etat-major d’occuper préventivement la Sarre pour donner l’avantage à la France lors du prochain conflit. Hélas ! Il n’est pas écouté.
3. Les grandes épreuves et les grandes réussites : 1940-1949
Promu général d’Armée, Giraud réalise en mai 1940 la manœuvre Bréda (une des rares grandes offensives françaises de la guerre de 1940), à la tête de la VIIe Armée, à laquelle le général Gamelin l’arrache le 15 mai pour le nommer en catastrophe à la tête de la IXème Armée alors en pleine débâcle devant la ruée des panzers à travers les Ardennes. Mais le 19 mai 1940, Giraud, toujours en première ligne, tombe aux mains du Panzer Gruppe du général Von Kleist et il est transféré dans la forteresse de Königstein (Saxe). Il refuse de prêter serment de ne pas s’évader, et écrit en septembre sa fameuse « Lettre à ses enfants » qui commence par ces mots : « Je vous interdis de vous résigner à la défaite… » et qui va connaître un grand retentissement au sein de l’armée d’armistice en France occupée.
Deux ans plus tard, le 17 avril 1942, à 63 ans et malgré les séquelles de nombreuses blessures, Giraud s’évade en descendant un a pic de plus de 40 mètres avec une corde qu’il a tissée lui-même puis, après un périple mouvementé de 800 kilomètres à l’intérieur du Reich, poursuivi par la Gestapo, mais grâce au concours des résistants alsaciens et lorrains dont plusieurs le paieront de leur vie, il parvient à regagner la zone libre par l’Alsace et la Suisse. Cette « évasion retentissante » est le premier camouflet à Hitler sur le territoire même du Reich. Lors d’un discours aux Communes, Churchill lui rend cet hommage : « Giraud, l’homme qu’aucune prison ne peut retenir. » Refusant de se constituer prisonnier comme le lui demande Vichy, Giraud, prend contact avec les Américains (accords GIRAUD/MURPHY du 2 novembre 1942 qui préservent la souveraineté française) et organise l’ORA (l’Organisation de résistance de l’Armée).
Le 6 novembre 1942, Giraud s’évade de France à partir d’une plage du Lavandou en direction de l’Afrique du Nord où, retardé par le mauvais temps, il n’arrive que le 9 novembre alors que le débarquement allié a commencé la veille.
Les Américains décidant- en son absence – de jouer la carte Darlan, il se rallie à contre cœur à cette formule pour cause d’urgence stratégique et, le 19 novembre, il relève l’ultimatum de Von Rundstedt : la bataille de Tunisie commence. Mal armés, mal équipés, 80000 soldats français font preuve d’un héroïsme quotidien durant cinq mois. Le bilan est terrible : 10 000 tués et disparus.
Le 28 novembre 1942, il est déchu par Vichy de la nationalité française. Ses biens sont confisqués et sa famille est déportée en Allemagne.
Fin décembre 1942, après l’assassinat de l’amiral Darlan, il devient commandant en chef civil et militaire de l’Afrique du Nord. Et en janvier 1943 lors de la conférence d’Anfa, il obtient de Roosevelt le réarmement de l’armée française qui va lui permettre de tenir sa place dans la bataille d’Europe. « C’est à Giraud et à lui seul que l’on doit le réarmement de l’armée française », écrit le Pr. Philippe Masson. La célèbre photo de sa poignée de main avec de Gaulle, en présence de Roosevelt et Churchill, fait le tour du monde.
Le 20 mai 1943, dans Tunis libéré, Giraud et Eisenhower président côte à côte le défilé de la victoire. Roosevelt écrit à Giraud : « J’exprime l’admiration du peuple de l’Amérique en saluant la brillante contribution des forces françaises sous votre commandement, qui vient d’aboutir, hier, à la délivrance de Tunis et de Bizerte. ».Giraud invite de Gaulle à le rejoindre à Alger et, le 3 juin 1943, les deux généraux créent ensemble le CFLN (Comité Français de la Libération Nationale) qu’ils co-président.
Sans l’aide des Alliés qui trouvent l’affaire trop risquée, et contre l’avis du Général de Gaulle et de certains membres du CFLN qui prédisent un «bain de sang», Giraud libère la Corse en trois semaines avec l’appui de la Résistance corse. Le 4 octobre, de Gaulle le félicite au nom du gouvernement de « l’heureuse issue » de l’opération militaire. « Il l’avait prescrite et lancée. Il en avait assumé le risque. Le mérite lui en revenait », écrira-t-il dans ses Mémoires.
La politique reprenant ses droits, Giraud se voit retirer ses attributions de co-président en novembre 43, mais devient Commandant en chef de l’armée française réunifiée (Armée d’Afrique et FFL), et lance le corps expéditionnaire français commandé par Juin dans la campagne d’Italie.
Partisan de l’offensive danubienne à partir de l’Italie reconquise, Giraud est placé, le 14 avril 1944, pour cause de différent géostratégique avec le Général de Gaulle, en réserve de commandement. Le Général de Gaulle décide donc de supprimer le poste de Commandant en chef des Armées françaises occupé par Giraud.
Le 15 avril 1944, au cours d’une conférence de presse, à Alger, le général de Gaulle lui rend néanmoins cet hommage : “Je dis bien haut que la magnifique carrière militaire du général Giraud fait extrêmement honneur à l’Armée française. Je dis bien haut que son évasion légendaire de la forteresse allemande de Königstein, sa volonté immuable de combattre l’ennemi, sa participation éminente à la bataille de Tunisie et à la libération de la Corse, lui assurent, dans cette guerre même, une gloire qui ne sera pas oubliée !”
Relégué à Mazagran, Giraud y est victime d’un attentat le 28 août 1944, mais il s’en sort miraculeusement. Rentré en France fin 1944, il tente de retrouver sa famille déportée à Friedrichroda (Thuringe) où est morte sa fille ainée, Renée.
Après la guerre, il écrit deux livres : Mes Evasions (1946) ; Un seul but, la Victoire (1949)
Après avoir reçu sur son lit d’hôpital la Médaille militaire, distinction suprême pour un général ayant commandé en chef devant l’ennemi, il décède à Dijon, le 11 mars 1949, Le général de Gaulle vient se recueillir devant sa dépouille et lors de ses obsèques nationales, Paul Ramadier, président du Conseil, et Max Lejeune, ministre de la Défense, prononcent son éloge funèbre. Son corps, exposé sous l’Arc de triomphe, est ensuite conduit dans la crypte des Invalides, parmi ses pairs.
Sa quatorzième et dernière citation dit ceci : « Chef prestigieux, aux états de service splendides, s’est évadé en avril 1942 de la citadelle de Königstein, exploit tenant de la légende, avec la volonté ardente de reprendre le combat. Présent à Alger à l’heure décisive, a pris une part déterminante à la rentrée en guerre de l’Afrique du Nord dans la guerre. A réussi dans les moindres délais à jeter les troupes françaises, face à l’avance allemande, en couverture des débarquements alliés, préparant, par les succès de Medjez-el-Bab, de Pichon, de Fahd et de Kasserine, la libération de la Tunisie. Quelques mois plus tard, en une action d’une audace extrême, avec des moyens réduits uniquement français, s’appuyant sur les combattants du maquis, a libéré la Corse, premier département métropolitain repris à l’ennemi. Enfin, de 1942 à 1944, a hautement contribué à organiser l’Armée française de la Libération qui devait s’illustrer dans les campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne. Soldat magnifique, d’un courage jamais abattu, d’une dignité égale à son abnégation, compte parmi les gloires les plus pures de l’Armée française. »
On peut retenir du Général GIRAUD, une grande œuvre, un grand chef militaire, un vrai patriote parfaitement désintéressé qui ne mérite certainement pas l’indifférence – quand ce n’est pas l’ingratitude – qui entoure encore trop souvent son souvenir (par exemple, son nom est trop peu donné à des lieux publics en France). Il est bien le grand libérateur oublié.
Merci beaucoup à Hervé GIRAUD d’avoir évoqué cette grande figure auprès des nombreux élèves et anciens élèves de Hoche, visiblement enchantés par sa conférence, de l’avoir fait revivre devant nous avec talent.
Vincent BOURGERIE, Vice-président de l’Association des Anciens de Hoche.
Vous trouverez ci-après quelques dates à noter ainsi que des informations relatives aux activités de votre association.
—————————————————————————-
Conférence des Anciens de Hoche le 22 mars 2016 au lycée.
Nous vous attendons très nombreux demain à 17h30 dans le grand amphithéâtre du Lycée Hoche (entrée par le 73 avenue de Saint-Cloud 78000 Versailles) pour assister à la conférence du Vice-amiral d’escadre (2s) Hervé GIRAUD, Ancien élève de l’Ecole navale et Ancien élève de Hoche (1960-1963).
Il interviendra sur le sujet suivant : « Le Général Henri GIRAUD : le libérateur oublié ».
Compte tenu des conditions de sécurité actuelles pour l’accès au Lycée, nous vous serons reconnaissants de bien vouloir confirmer votre présence par e-mail : contact@ancienshoche.org.
—————————————————————————-
Assemblée Générale et déjeuner annuels de l’Association des Anciens de Hoche le 18 juin 2016 au lycée.
Nous espérons que vous serez très nombreux à participer à l’AG et au déjeuner qui suivra. Ce déjeuner annuel est une occasion unique de nous retrouver tous ensemble. Alors bloquez dès à présent la date dans votre agenda !
Le programme du 18 juin sera le suivant :
– Visite du musée du lycée Hoche à 10h
– Assemblée générale à 11h30
– Déjeuner à 13h (restaurant du lycée).
Pour participer au déjeuner, une contribution de 35 euros par personne est demandée. Vous pourrez vous inscrire et payer directement en ligne en vous connectant avec votre login et votre mot de passe sur www.ancienshoche.org (le système sera en place d’ici la fin de la semaine). Pour celles et ceux qui préfèrent le papier, vous pourrez choisir de nous renvoyer le bulletin qui vous sera adressé par courrier début avril avec un chèque de 35 euros.
—————————————————————————-
Annuaire papier 2016 de l’Association des Anciens de Hoche : nous comptons sur vous pour prendre une publicité !
L’annuaire 2016 sortira avant l’été. Tous les cotisants le recevront pas courrier. Comme vous le savez, cet annuaire est financé uniquement par la publicité. Aussi nous comptons sur tous les anciens pour se mobiliser et voir dans quelle mesure leur organisation peut financer une publicité dans l’annuaire (1/4 de page, 1/2 page, pleine page, …).
Nous avons confié la recherche de la publicité et la réalisation de l’annuaire à la société EM-COM qui a réalisé un travail absolument remarquable pour l’annuaire 2015.
Durant les 12 derniers mois, nous avons consacré beaucoup d’énergie à continuer à mettre à jour le fichier des anciens. Vincent BOURGERIE (Vice-président de l’Association) a quant à lui fait un travail magnifique sur la partie rédactionnelle de l’annuaire. Autant vous dire que l’édition 2016 sera de qualité et qu’elle mérite d’avoir un grand nombre d’annonceurs !
N’hésitez pas à vous rapprocher très vite d’EM-COM afin de leur proposer de prendre en charge un encart publicitaire dans l’annuaire : www.em-com.fr – Tél. : 01 43 97 40 82 – E-mail : contact@em-com.fr
—————————————————————————-
Retour sur le diner organisé le 10 mars 2016 à Versailles par l’Association autour de Jean-Claude SOLADIE, ancien professeur de mathématiques en HX3 à Hoche :
Le dîner du 10 mars autour de Jean-Claude SOLADIE (nouveau membre d’honneur des Anciens de Hoche) restera indéniablement comme l’un des temps forts de notre association cette année.
Une chose est sûre : les anciens HX3 aimeraient que ce dîner autour de Jean-Claude SOLADIE puisse avoir lieu une fois par an. Alors rendez-vous en mars 2017 à tous les anciens HX3 qui n’ont pas pu se libérer le 10 mars dernier.
—————————————————————————-
Avis de recherche !
Vous avez ci-dessus la photo d’une classe de Math-Sup du lycée Hoche (1952-1953). Nous recherchons activement le nom des élèves et du professeur. Alors si vous reconnaissez certaines personnes, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous adresser un mail à contact@ancienshoche.org.
Pensez également à mettre en ligne vos photos de classe sur www.ancienshoche.org en vous connectant avec votre login et votre mot de passe ou à nous les envoyer scannées par mail à contact@ancienshoche.org si vous préférez que nous nous chargions de la mise en ligne.
—————————————————————————-
Le nerf de la guerre pour une Association comme la nôtre : les cotisations !
Merci à vous toutes et à vous tous pour votre contribution au développement des activités de l’Association des Anciens de Hoche.
Bien amicalement
Thomas LEGRAIN,
Président de l’Association des Anciens de Hoche
[slideshow-bootstrap id=30] Ils se retrouvent 25 ans après …
Ancien professeur de mathématiques en HX3, Jean-Claude Soladié est revenu à Hoche le 10 mars 2016 pour dîner avec ses anciens élèves.
La vingtaine d’anciens élèves présents au diner étaient en majorité de la promo 1989, auxquels se sont joints des élèves de 1981, 84, 88 et 90.
« Merci à tous ceux qui nous ont permis de vivre cette soirée, de revoir notre (le mien en tout cas) Dieu des Mathématiques et de revoir d’anciens camarades, avec qui j’ai partagé une Math Sup inoubliable. Un petit bond en arrière de 25 ans et un réel bonheur de pouvoir rediscuter avec des personnes que j’ai réellement appréciées. J’espère que mes enfants pourront suivre des études aussi passionnantes et vivre des moments aussi forts que nous. Je ne sais pas si cela aura une suite mais que l’initiative était belle !!! » Loc Ho (1989)
« Un grand merci pour cette initiative. L’année de HX3 a marqué nos esprits. Une année difficile mais qui nous a fait nous dépasser! C’était un grand plaisir de constater que personne n’avait pris une ride ! Les visages étaient ceux d’il y a 25 ans et ont renvoyé à des années mémorables. J’ai bien noté que notre cher Monsieur Soladié gardait comme occupation ‘amusante’ quelques heures de colle. On voit bien la différence de perspective entre les colleurs et les collés ! Au plaisir de garder les contacts repris et de garder ceux qui ne se sont jamais interrompus depuis ces années. Encore mille merci pour cette rencontre que certains pourraient considérer que celle de vétérans mais que je qualifie plutôt de rencontre de la jeunesse qui dure ! » Hélène Fauve Buresi (1989)
Sur l’air Armstrong de Claude Nougaro, les anciens ont repris cette chanson composée pour leur professeur: