« Le Lycée Hoche : un modèle d’excellence dans le paysage culturel français », Versailles + n°74 Août/Septembre 2014

 

hoche-dossier

A Versailles, tout est hors du commun. Le superlatif y fait office de banalité. Avec au sommet, le château et ses millions de visiteurs éblouis. Mais le chef d’oeuvre du Roi Soleil n’est pas seul à conquérir les esprits. D’autres pôles d’attraction suscitent aujourd’hui un intérêt majeur : les écoles de la cité royale, dont la renommée ne cesse de croître, véritable oasis culturelle dans un univers tourmenté. Parmi celles-ci le lycée Hoche est une figure de proue car il est devenu au fil du temps un cas unique dans le paysage culturel français.

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Vivre et revivre, premier essai de Marc Pierre Henriot

couverture

Bonjour,

Un ami m’a indiqué qu’une association rassemble les anciens du lycée Hoche !

Et je ne le savais pas !

Heureux de pouvoir vous contacter pour plus d’informations…

Retraité à présent, je me consacre à l’écriture et à la poésie…

Edilivre vient de publier mon premier essai :
http://www.edilivre.com/catalogsearch/result/?q=henriot+marc
ou directement:
http://www.edilivre.com/vivre-et-revivre-marc-henriot.html#.VAWXE8V_tnM

Cet essai est principalement de la poésie …
Vivre et revivre
Rêve et ris
Par Marc Henriot
Format : Roman (134×204)
Nombre de pages : 24
Date de publication : 17 juillet 2014
ISBN : 9782332764416

L’auteur fut l’élève de Vladimir Jankélévitch dans les années 1970. La philosophie du « presque rien » est au cœur de sa démarche poétique. Chaque mot génère un appel, parfois un rappel dans le tumulte de la vie. Philosophe et poète, il s’efforce de retrouver le sens et les souffles de l’existence après avoir accompli une carrière dans le domaine des relations économiques internationales.

Extrait :
Espoir
Maître espoir court sur les nuages
maître du désespoir sans âge,
mais toi tu restes bien sage,
en attendant la parole du sage…
chaque vie devient un livre de mille pages, chaque vie se réfugie dans l’azur de l’âge.
chaque matin, tu fredonnes dans l’air du temps, et chaque soir, tu oublies le fil qui se tend…
aimer sans trop savoir pourquoi…
semer des graines riches d’espoir,
rêver pour calmer les friches du désespoir…
laisser perler les larmes salées du n’importe quoi…
avec méthode chacun espère tout savoir,
avec patience chacun espère se revoir,
avec crainte chacun redoute l’au revoir, avec bonheur chacun renonce aux rêves noirs.

Je garde un très bon souvenir de mes heures d’études dans l’établissement entre 1965 et 1968 puis prépa au lycée La Bruyère de Versailles.

Mon profil: http://www.epractice.eu/en/people/marcpierre78

Bien cordialement,

Marc Pierre Henriot (1968)

Dialogues à fables, spectacle d’un Ancien.

Valentin MARTINIE, ancien de Hoche (2001-2005) sur les planches
Valentin MARTINIE, ancien de Hoche (2001-2005) sur les planches

Il se trouve que je joue en ce moment, les 11, 18, 23 et 30 septembre 2014 à 21 h à l’Auguste Théâtre à Paris 11e une pièce, intitulée « Dialogue à Fables », que j’ai écrite et jouée au Mois Molière en juin dernier. C’est une pièce qui met en scène deux comédiens autour de fables classiques et modernes (allant de La Fontaine à Ionesco).

Deux jeunes comédiens s’apprêtent à dire un florilège de fables, mais les tensions qui apparaissent entre eux vont bientôt transformer le spectacle en véritable joute verbale.

Ils se contredisent, prennent parti pour les personnages, multiplient les piques et les sabotages, en puisant dans un répertoire de fables classiques et modernes (La Fontaine, Hugo, Anouilh, Queneau, Ionesco…) toutes leurs répliques cinglantes.

Le public assiste finalement à une représentation surprenante, où les reparties des comédiens éclipsent parfois le propos premier des fables, pour mieux restituer leur mouvement oral et rappeler que le génie de La Fontaine tient dans l’art de la contradiction !

Pour prendre vos places, la billetterie est sur ce lien : http://www.billetreduc.com/122837/evt.htm

Pour rejoindre notre évènement Facebook et inviter vos amis, c’est par ici : https://www.facebook.com/events/358073437674295/.

Critiques de spectateurs
Avis des 1ers spectateurs en vidéo
Revue de presse

Merci pour votre attention et pour votre aide !

Amicalement,
Valentin Martinie, ancien de Hoche (2005)

Josée GÉNERMONT, professeur de SVT au lycée Hoche de 1961 à 2000, devenue artiste peintre

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“ Biologiste (j’ai été professeur de SVT au lycée Hoche à Versailles, de 1961 à 2000 ) rattrapée par la peinture,  j’ai obtenu  le diplôme de l’Ecole des Beaux Arts de Versailles, en présentant  des œuvres  faites suivant la technique du monotype (peinture sur plaque non gravée transférée sur papier en unique exemplaire) : technique originale et peu courante que j’aime particulièrement.

Par ailleurs, aquarelle et acrylique, me permettent de m’exprimer librement, loin d’un atelier, au moment même de l’émotion.

Pour certains sujets j’aime aussi combiner les techniques : technique mixte (ex :peinture sur cartes routières, sur dessins scientifiques, …). »

Depuis une dizaine d’années je participe à des expositions :

Paris

      2013-2014, Exposition personnelle au GEMA

            2008, Artistes du monde « espace Le scribe-l’Harmattan »
          2006 et 2007, Salon Académie internationale de Lutèce

         2004, Galerie « Art présent »

Versailles

            2013, Rencontre au Carré à la farine

2012 et 2013, Galerie de l’école des Beaux Arts

2005 à 2013, Parcours dans l’art actuel

2001 à 2012, Artistes dans la rue

2006, Exposition du Rotary-Club

2003, Salon de Versailles

2002, Fête de l’association des amis du Maroc

Le Chesnay

    2013, Fête de l’estampe
2001 à 2003, 2008, 2010, 2011, Salon du Chesnay

1999, 2008, 2010, 2011, Rencontre des artistes Chesnaysiens

Bueil
  2003, Salon de peinture

Chatenay-Malabry

    2007 et 2008, Galerie de l’épervier

Conflans-Sainte-Honorine
 2004-2005, CréArt
Juin 2003 ; novembre 2003, 2006, 2009, Marché régional de l’art

Elancourt

2012, Quinzaine des artistes amateurs

     Fontenay-le-Fleury

             2011-2012,2014  Exposition de Printemps

   2010, Salon d’Art

Gif sur Yvette

                   2010, Concours  Art et Science INRA-Danone ,

Igny
          1999 à 2002, 2008 à 2010, Salon d’Igny

Issy-les-Moulineaux

2006 et 2008, Marché des arts

Jouy-en-Josas
           2002, 2003, 2006, 2008, Salon des artistes du Josas

Rocquencourt
1999, Salon d’automne

Rueil-Malmaison

 2007 à 2009, Art’uel

Saclay

                  2003 à 2014 Expositions ( peintures/sculptures)

Viroflay

  2013, Expositions d’Art

2003 et 2006, Salon de Viroflay

Saint-Raphaël et Roquebrune sur Argens et Fréjus
        2006 à 2013, Expositions de la Société des Beaux-arts Maures-Estérel
       2004, Hôtel “ La Marina ”, exposition personnelle

Brive, Tulle, Aubusson

           2011, Expositions « Arts et Sciences en Limousin »

Régis Pluchet publie la première biographie d’André Michaux, l’un des plus grands botanistes du 18e siècle.

COUV MICHAUX[2]

C’est sous le titre « L’extraordinaire voyage d’un botaniste en Perse » que Régis Pluchet, ancien élève de Hoche de 155 à 1968, publie aux éditions Privat la première biographie de cet extraordinaire botaniste originaire de Versailles.

En février 1782, le botaniste André Michaux s’en va sur les routes de l’Empire ottoman accompagné du consul Rousseau. Il a pour mission de ramener des arbres et des fleurs pour le jardin de Marie-Antoinette, mais également des plantes qui soient utiles à la science et à l’industrie. Son voyage le mène en Syrie, à Bagdad puis à Bassora, où il se retrouve prisonnier d’une tribu arabe hostile au pouvoir en place. Il est finalement libéré et atteint la Perse, où il parcourt méthodiquement, à la recherche de végétaux inconnus, un royaume en proie aux guerres de successions. De retour en France, André Michaux rapporte une multitude de graines et de plantes. C’est ainsi grâce à lui que l’on retrouve le Michauxia ou le Zelkova (ou orme du Caucase) dans nos forêts et nos parcs. Peu connu dans son pays natal, le scientifique a pourtant laissé à la France un héritage botanique inestimable. L’itinéraire inédit d’un botaniste à découvrir.

Extrait

En février 1782, le botaniste André Michaux s’en va sur les routes de l’Empire ottoman accompagné du consul Rousseau. Il a pour mission de ramener des arbres et des fleurs pour le jardin de Marie-Antoinette, mais également des plantes qui soient utiles à la science et à l’industrie. Son voyage le mène en Syrie, à Bagdad puis à Bassora, où il se retrouve prisonnier d’une tribu arabe hostile au pouvoir en place.