Association des anciens du lycée Hoche (Versailles)
Ancien professeur d’anglais au lycée Hoche, James Fitzpatrick nous a quittés le 31 octobre 2018.
Après maintes corrections et re-lectures et avec l’aide de son meilleur ami, sa veuve Joëlle est enfin parvenue à faire publier, sur Amazon, le livre de souvenirs de ce mémorable professeur.
Continuer la lecture de « Souvenirs de James Fitzpatrick »Nous apprenons le décès de Maurice Barnier, professeur de français à Hoche dans la période 1960-1985. Son décès est survenu le 28 janvier 2021.
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Notre camarade Jean-Pierre Drevon (1963) nous a quitté le 16 janvier 2021.
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Ouvrir l’année 2021 n’a rien d’aisé. Quels plans faire, quels rendez-vous proposer, quand pèsent à ce point l’incertitude sur notre liberté de mouvement et les risques liés à nos rencontres ?
Confiance, sérénité, courage, sont les mots qui reviennent dans les vœux échangés en ce début d’année. C’est en ces termes que nous saluons la communauté éducative du lycée. Avec persévérance, elle a continué sa mission éducative et permis au lycée de tenir son rang dans la tempête. Hélas des rendez-vous importants vont nous manquer, sans d’ailleurs que l’on puisse très bien dire lesquels. Mais l’association reste présente, prête à redéployer ses actions en fonction de l’actualité. S’appuyant sur les premières mutations mises en oeuvre depuis 2018, elle a réussi, après le confinement suivi de la longue période estivale, à reprendre ses activités en automne. L’assemblée générale 2020 s’est tenue en octobre avec peu de personnes sur place, mais avec une participation en ligne et surtout avec une expression importante des suffrages soutenant la vie de l’association. Vous pouvez en consulter le compte-rendu ici.
Les obstacles créés par la crise sanitaires ont créé de vraies menaces sur nos activités. Plus que jamais, il nous est nécessaire d’entretenir les liens d’amitié. Nous sommes incités à trouver des solutions de notre temps pour continuer notre mission traditionnelle. Ce sont autant d’opportunités de progresser durablement. N’hésitez donc pas à continuer de solliciter notre réseau.
Le début de l’année est aussi le moment de renouveler la cotisation à l’association, et au passage de mettre à jour ses informations de contact via l’espace des Anciens.
Bonne année 2021.
Louis-Aimé de Fouquières 1974 (1967-1977)
Président de l’Association
Notre assemblée générale statuant sur les activités de 2019 a eu lieu le 3 octobre 2020 à 11 heures, dans l’auditorium du lycée et en ligne.
Les contraintes sanitaires nous ont contraints à renoncer à notre traditionnel banquet. Toutefois, afin de recueillir la participation du maximum de personnes, nous avons mis à disposition le document préparatoire en ligne et sollicité les suffrages des membres par le système de vote en ligne balotilo. C’est un grand plaisir de constater que nous obtenu la plus importante participation aux suffrages de ces dernières années.
Sont accessibles en ligne:
Nous avions déjà Air et Phoenix, mais voilà qu’un nouveau talent passé par Hoche reçoit une récompense de niveau national ! L’émission de M6 la France a un incroyable talent a en effet primé la famille Lefèvre, chorale familiale de Versailles.
Gaël Lefèvre (bac 2016), le fils aîné, est passé par le collège Hoche avant de rejoindre le lycée La Bruyère puis de se spécialiser dans la musique. A seulement 22 ans, c’est un contre-ténor reconnu, sollicité par plusieurs chœurs de grande qualité.
Les Anciens de Hoche ont d’incroyables talents !
Parmi les 62 prix décernés en 2020 par l’Académie Française à des titres divers, il revient de noter le prix Montyon. Ce prix, annuel depuis 1976, est destiné « aux auteurs français d’ouvrages les plus utiles aux mœurs, et recommandables par un caractère d’élévation et d’utilité morales ».
C’est Isabelle Mordant (1990), pour son ouvrage Mystère de la Fragilité, qui a reçu cet honneur. Elle y voisine désormais des personnalités aussi disparates qu’Hervé Gaymard, Jacques Juillard ou Jean-François Mattéi. Encore merci à Isabelle pour cet édifiant récit de l’histoire de notre camarade Thomas Mordant (2013), souffrant de la maladie des os de verre, et malgré cela reçu à l’Ecole Normale Supérieure de Paris à 16 ans.