Souvenirs impérissables

J’aime assez ce site et les souvenirs qui y sont évoqués. Il y a quelques professeurs qui m’ont laissé un souvenir impérissable, pas tant par leurs vertus pédagogiques que je me garderai bien de juger, mais de par leur personnalité particulière. Je pense entre autres à monsieur P.-O. Robert professeur de physique-chimie, ou bien à monsieur Lévêque professeur de musique. Si d’aucuns ont des souvenir particuliers, je serais heureux de les partager.

Cordialement Alain DEFOUR (1961-1968)

Robert Cloët nous a quittés

Merci à Georgette Blaquière , collègue de lettres, pour son témoignage. Je lui ai adressé mon texte sur Hoche 64 -71.

D’autre part, j’ai appris le décès, l’été dernier, de Robert Cloet, ancien professeur au lycée puis a Jules Ferry. Il était encore présent au centenaire de Jules Ferry le 23 mai 2008.

Gilbert Guislain (64-71), professeur à Jules Ferry, membre du conseil pédagogique et coordinateur des Lettres.

Idée pour le bicentenaire

L’histoire du squelette et la mémoire de Texier (Texas Bull et non Bill) a été évoqué dans les souvenirs de hoche 64- 71 voir page quatre de ce même livre d’or.

Idée pour le bicentenaire : une série d’interventions d’acteurs de terrain (anciens ayant travaillé sur la mémoire du lycee) pour faire partager cette mémoire.

Tous mes souhaits a tous pour 2009.

Gilbert Guislain gilbertguislain@hotmail.com 06 71 87 54 29
Prof de Lettres a J Ferry et intervenant à Grandchamp. Hoche 64 71

A propos du squelette et du prof de maths

Christophe, c’est étonnant que ton papa t’ait parlé de cette anecdote du squelette sur le dôme de la chapelle, je crois que c’était l’oeuvre de certains internes. C’était bien en 1967 et cela avait fait un raffut toute la journée. Moi, je n’y étais pour rien :))) trop jeune encore pour faire ces actes de bravoure.

Quant au professeur de maths qu’on appelait Texas Bill, pour ne pas le citer, c’était une terreur pour les gosses et c’est étonnant ces propos dithyrambiques le concernant ou alors il aurait bien changé au fil des ans.

Je ne peux quitter cet espace sans avoir une pensée pour Loïc, arrivé d’Inde en cours d’année de 6ème, qui s’est tué en moto à l’âge de 20 ans, et une autre pensée pour Philippe de Dieuleveult.

Bonjour à tous!

Hervé Voquer

Témoignage depuis la lointaine Asie

Je découvre ce site et le livre d’or.

Je me suis bien amusé à sa lecture. L’évocation des professeurs, certains disparus, est bien émouvante.
Je n’ai pas aimé certains de ceux cités, en particulier M. Martin qui m’avait exclu de son cours pour l’avoir traité d’obsédé sexuel. Il exigea des excuses, il les attend toujours. Mais tous les autres en particulier Mme Tiger, Mme Bacquié, les Soulié, M. Jeuffroy, tous les profs d’histoire et géo en particulier M. Pasdeloup et M. Trotignon m’ont donné de goût et la passion de lire, de la culture et de l’ouverture au monde. Quelle passion tous mettaient dans leurs enseignements! Dommage de ne pas les voir écrire dans ce livre d’or!

J’ai passé mon bac A en 1974. Je suis maintenant installé en Thaïlande depuis 18 ans j’y exerce la digne profession de conseil aux entreprises désireuses de travailler dans cette lointaine Asie.

Didier Delaval
didierinbkl@gmail.com

Retrouvailles par le livre d’or

C’est en effet un plaisir que de revenir lire ce livre d’or surtout lorsque l’on y rencontre certains amis de l’époque où nous étions au Lycée, n’est-ce pas Jean-François Mollard ? et se souvenir de nos enseignants.

Quand pourrons nous nous rencontrer à l’occasion de ce bicentenaire toujours pas annoncé ?

Amitiés
Bernard Coudert
coudert_bernard@yahoo.fr

Juste après 1945

En cette veille de 11 novembre, ceux de ma génération (Hoche 1945-1951) se souviennent peut-être de notre prof de chant Mr Ingst (ou Engst) que nous appelions Mumu ou encore Tata-Swing. Pendant des années les copains et moi-même sommes allés chanter au Monument au Morts des Gonards des airs entraînant tels que les Allobroges et autres…

Qui se souvient aussi du Pr. Fontenaille qui a su injecter la passion de l’Egypte antique dans les veines de votre serviteur. Il avait une rhinite chronique: nous l’appelions donc « Chin-Chin » et le chahutions (modérément). La honte!!! C’est bien des années plus tard que j’ai appris que son fils Adolphe avait fait partie de l’équipe ayant cambriolé et incendié le fichier du STO de Versailles et l’avait finalement payé de sa vie…

Jean-François Mollard