>>> … qui a su me dégoûter des maths, me dire que j’étais nulle et m’enfoncer. Mais bien sûr, l’humiliation et le dénigrement des élèves forment l’une des fondations de la pédagogie française pour l’enseignement secondaire. Sans les prévisions lugubres pour l’avenir de leurs élèves, de quoi réjouiraient-ils nos pauvres enseignants? Heureusement que les programmes […]

A Hoche de 1962 (6ème) à 1968 (1ère) puis parti à Lille Quel fabuleux Lycée !! Je ne me souviens que de 2 profs : M. de Crozant (énormissime prof de français) et M. Trotignon (Histoire Géo). Alain Gaubert (bac 1969)

Vive Monsieur Morin, le plus grand prof de Hoche!!! Je garde aussi un excellent souvenir de Monsieur Cartier qui nous donna la chance de participer aux « classes patrimoines ». Même si nous ne manifestons pas toujours notre gratitude sur le moment, notre dette envers vous ne s’efface pas… Etienne

Anciens de Hoche, savourez votre bonheur d’avoir vécu quelque temps dans ce merveilleux environnement…

Notre combat était d’abord celui des idées. Vraies ou fausses elles déterminaient le monde dans lequel nous vivions. Notre cercle était très restreint et totalement inconnu du grand public. Qui nous connaissait, à part nos familles ? Personne !

A Hoche de 1972 à 1976. Jeufroy était effectivement un grand bonhomme, très drôle, et proche des élèves, contrairement à Martin, qui semblait n’aimer personne. Rappelons M. Bessière, professeur de français et poète. C’était alors un bon lycée. Laurent Lecomble (1972-1976)

Effectivement, Madame Chassaing était une excellente prof de maths. Une personne très engagée, au service de ses élèves et de leur réussite. Madame Blondel, jeune professeur à l’époque, était aussi bonne prof. Et Monsieur Pajot (Philo), qui nous dictait les cours à la virgule près… Mais un petit bémol tout de même: quelle pression, pas […]