Selon les documents que je possède, deux bombes sont tombées dans l’enceinte du lycée, l’une dans la cour d’Honneur un peu en avant et à gauche de la chapelle, l’autre entre le petit lycée et le boulevard de la Reine, près de la sortie du lycée sur le boulevard. Aucune n’a touché des bâtiments. Celle tombée près de la chapelle n’a pas dû faire d’énormes dégâts car on n’en voit pas trace sur les photos de la grand-messe dite sur le parvis à la mémoire des victimes (257 tués). Si Michel Rouet était à Versailles à l’époque, il doit se souvenir du triste état de notre pauvre rue de Montreuil…
Jean-françois Mollard (1945-1952)