Je fus élève à Hoche de la rentrée 1972 (3e) à la terminale littéraire (bac en 1977), avec une année de première redoublée.
A Dominique Lemaire (message du 1er juin 2010), je peux apporter une réponse : la prof d’anglais qui boitait s’appelait Mlle Fréau, je l’ai eue deux ans : toujours impeccable, une vrai terreur en dépit de sa petite taille, très exigeante et sans doute un des meilleurs profs d’anglais du lycée.
Etant littéraire, les maths tiennent dans ma vie une place bien réduite. J’ai eu M. Ryczywol en 1975-1976, il était à la foi pénible à suivre, fort chahuté et pas si féroce. En terminale, j’ai eu la chance d’avoir M. Cohen, une crème d’homme qui prenait à coeur sa mission d’enseigner les maths à des littéraires, et grâce à qui j’ai enregistré quelques très modestes progrès, car il savait nous expliquer, lui…
Un très bon souvenir aussi de mes profs de français (L’Hote et Bérat), d’histoire (Volatron dit « Bouboule », Lefeuvre dit « Naf-Naf »). Aujourd’hui, je suis moi-même historien et écrivain.
Je ne suis pas encore adhérent mais compte le devenir bientôt.
Cordialement à tous.
Pascal Arnoux